Si José Garcia s’est retrouvé parrain du Mondial du Vent en mai dernier à Leucate, ce n’est pas vraiment par hasard ! L’acteur ne jure plus que par le kite qu’il qualifie de véritable « addiction » dont il ne pourrait plus se passer. Ca vous parle peut-être… ?
Dans une interview à Paris Match (10/05/2012), il revient sur ce sport qui a un peu changé sa vie en quelque sorte, au quotidien mais aussi en vacances.
En voici quelques extraits :
Comment vous est venue cette passion ?
Pour mes 40 ans, je suis parti en vacances à l’île Maurice. A l’époque, je bossais comme un dingue. Je tournais cinq films par an. Je ne profitais de rien. Bref, je traversais une petite crise existentielle. J’ai eu un éclair de lucidité : j’ai décidé de gagner moins et de me marrer plus… en faisant du kite.
Que vous apporte ce sport ?
Des émotions extraordinaires, comparables à celles que je ressens quand je pilote un avion. Ces deux activités ont la faculté de te faire oublier tous tes problèmes. Evoluer au cœur des éléments me procure un kif de dingue ! Ça me chamboule la tête. Quand je sors de l’eau, je me sens purifié.
C’est devenu une véritable passion ?
Je parlerais même d’addiction. Aujourd’hui, je ne pourrais plus m’en passer. La seule dépendance que je me connaissais jusqu’à présent, c’était mon métier. Désormais, j’ai également besoin de faire du kitesurf pour me sentir bien. Dès que je peux naviguer, j’enfile la combi, de 6 heures du mat’ jusqu’au soir. Et en plus, maintenant, je commence à sauter mes premières vagues…
Vos spots préférés…
Le plus souvent, je me rends à Beauduc, près des Saintes-Maries-de-la-Mer. J’aime aussi beaucoup naviguer au François à la Martinique, mais la Polynésie ou les Maldives, c’est pas mal non plus. Quand je pars en vacances avec ma petite famille, je les laisse choisir l’hôtel et moi, je cherche le spot de kite le plus proche.
Un mentor…
Alexandre Caizergues, le champion du monde de vitesse. J’ai fait sa connaissance sur une plage de Camargue et nous sommes devenus amis. J’ai beaucoup appris en le regardant. Sa manière de lire la mer est unique.
Extraits de l’interview réalisée par Lionel Robert et publiée dans Paris Match du 12/05/2012.
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